"Êtes-vous plutôt fourmi ou cigale" ?
La fameuse fable "La cigale et la fourmi" de Jean de La Fontaine, vous connaissez ? Cette fable, a pu bercer notre enfance, dans un but recherché, celui d’apprendre un langage commun à réciter « par cœur ».
Une expression répétitive à restituer fidèlement et en bon ordre pour pouvoir la rendre mécanique et automatique dans notre esprit. Un enseignement par le formatage de nos mémoires explicites de long terme, impliquant les fonctions de mémorisation au niveau de notre cerveau, cœur et corps.
À travers l’éducation parentale, collective et la morale de cette histoire, nous avons incorporé également l’hérédité de nos modèles de pensée et de comportement dans la dimension relationnelle, émotionnelle et matérielle à avoir avec l’argent dans notre mémoire affective, consciente et inconsciente.
Une transmission de critères comportementaux « acceptables » dit de masse, sous l’injonction d’une autorité extérieure à nous.
Une histoire sur une interprétation et une façon de faire pour guider nos façons de vivre, qui illustre et forge nos croyances, conditionnements, cultures, compréhensions, fonctionnements et reconnaissances sur la façon d’aborder la relation à l’argent dans son ensemble.
La fourmi et la cigale existent avec des qualités et des vulnérabilités, qui rentrent en résonance avec tout ce qui les entoure et sont basées sur des croyances, peurs et connaissances éducatives inter-intra-trans-générationnelles et sociétales.
La fourmi et la cigale se connaissent à travers le regard, les croyances, ainsi que les doctrines contées individuelles et collectives transmises.
C’est le reflet de nos histoires qui débutent par une éducation parentale de base, puis se poursuivent par une éducation culturelle, académique, professionnelle qui s’animent à travers des expériences situationnelles et expérientielles.
Serions-nous sous l’influence du regard extérieur et en fonction de ce que les autres veulent que l’on soit consciemment et inconsciemment ?
La connaissance de soi n’est-t-elle pas conditionnée à travers nos personnalités construites, sur la source de la recherche de reconnaissance, récompense, du plaire et du faire plaisir à une externalité au lieu d’une internalité ?
Revenons au contexte de la fable (récit de fiction exprimant une vérité générale), la question qui peut être posée est :
Préférez-vous accumuler, épargner, dans la peur de manquer ou la peur du lendemain ?
ou
Préférez-vous jouir des fruits de vos efforts dans l’immédiateté sans se préoccuper du lendemain ?
Déjà une idée, plutôt cigale ou fourmi ?
Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise réponse, ce sont nos aptitudes et nos attitudes qui définissent l’incarnation de ce que nous sommes dans le moment présent.
Poursuivons ensemble, si vous êtes d’accords, pour vous aider à clarifier votre réponse spontanée du moment.
Notre relation à l’argent raconte et définit nos personnalités, nos comportements et nos façons d’appréhender la vie.
L’acte du jeu scénarisé est le suivant : utiliser ses ressources sur base de croyances conscientes ou inconscientes pour répondre à des besoins connus, sous la variante d’une connaissance de ses besoins essentielles et non-essentielles tangibles et intangibles.
Installons maintenant la pièce de théâtre qui peut être jouée entre de nombreux autres archétypes fictifs qui suivent (toute ressemblance avec une personne existante ou ayant existé est purement fortuite) : envie de savoir, de qu’elle polarité de la fourmi ou de la cigale agit sur votre individualité ?
C’est par icipour poursuivre le chemin de la reconnaissance de votre modèle de pensée et de comportement dans votre mémoire affective, relationnelle, émotionnelle et matérielle vis-à-vis de l’argent.
Alias MEDIATION S.A.R.L-S nous accompagne sur mesure dans notre transformation globale unifiée et innovante.