La théorie des vases communicants, ça vous parle ?
Pour Antoine de Saint-Exupéry « Nous n’héritons pas de la terre de nos parents, nous l’empruntons à nos enfants » et lorsque la planète tousse, c’est toute la vie -faune, flore, et l’humanité entière qui s’enrhume.
Selon la définition de l’OMS – Conférence d’Helsinki – 1994 : « La santé environnementale comprend les aspects de la santé humaine, y compris la qualité de la vie, qui sont déterminés par les facteurs physiques, chimiques, biologiques, sociaux, psychosociaux et esthétiques de notre environnement. »
Dans son nouveau dossier du mois en ligne le mercredi 23 mai, la rédaction d’infogreen veut mesurer l’impact de notre société sur l’environnement, dresser un constat, un état des lieux et souhaite montrer les conséquences de cela sur notre propre santé tout en apportant un embryon de réponse.
Qu’elle soit sonore, lumineuse, des sols, de l’eau, radioactive, gazeuse… il n’y a pas une, mais une kyrielle de pollutions. Alors, quelles sont les conséquences de l’activité humaine sur la planète ? Quelles sont les différentes pollutions ? Et quelles réponses ou solutions seraient envisageables ?
Il faut changer de paradigme, nos gouvernements doivent prendre position rapidement et mettre en place une réglementation stricte.
Aujourd’hui, l’évolution de la recherche est telle qu’une nouvelle génération de solutions voit le jour. Les biotechnologies nous permettent d’espérer des réponses « eco-friendly » à base de probiotiques et d’enzymes semblables au microbiote intestinal. Les métiers évoluent, le secteur de la construction, véritable moteur d’innovations appliquées, pousse toujours plus loin le curseur technologique.
Car, comme l’a écrit Richard Buckminster Fuller architecte, designer, inventeur, écrivain et futuriste américain « Nous sommes appelés à être les architectes de l’avenir, pas ses victimes. »
Frédéric Liégeois