Libre-échange versus développement durable ?!

Libre-échange versus développement durable ?!

L’ONG Fairtrade Lëtzebuerg a organisé une table ronde en présence de Christian Felber (Professeur, Initiateur de l’Économie du bien commun et auteur de 15 livres), les députés européens Charles Goerens et Christophe Hansen et l’économiste Sarah Mellouet, modérée par la journaliste Danièle Weber. Sujet de la table ronde : LIBRE-ÉCHANGE DE L’UE VERSUS DÉVELOPPEMENT DURABLE ?!

Plus sur le sujet de la table ronde

L’Union européenne aspire actuellement à la conclusion de plus d’une douzaine d’accords de libre-échange (ALE), entre autres avec le Japon, divers pays de l’Association des nations d’Asie du Sud-Est (ASEAN), le Mexique ou encore les pays du Mercosur. À la discussion sur le libre-échange ou le protectionnisme s’ajoute le défi urgent à relever pour plus de durabilité. La question de la protection des droits de l’homme et des droits du travailleur doit également être abordée dans ce contexte.

Les gouvernements se sont engagés à atteindre les objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies, les groupes d’entreprises présentent des rapports sur la compatibilité de leurs activités avec le développement durable, et désormais, tel est l’objectif déclaré, la politique commerciale doit aussi devenir durable.

La relation tendue dans ces accords est illustrée par la question suivante : les chapitres consacrés à la durabilité dans les accords de libre-échange sont-ils accessoires par rapport à la maximisation des profits, constituant en quelque sorte un écran de fumée, ou conduisent ils à orienter les accords de libre-échange vers l’objectif plus général du développement durable ?

Plus sur l’Économie du bien commun (en langue originale)

Es gibt eine Alternative zu Kapitalismus und Planwirtschaft. Die Gemeinwohl-Ökonomie baut nicht auf Gewinnstreben und Konkurrenz, sondern auf Gemeinwohl-Streben und Kooperation – denselben humanen Grundwerten, die unsere zwischenmenschlichen Beziehungen gelingen lassen. Gewinn ist nur noch Mittel, nicht mehr Zweck der unternehmerischen Tätigkeit. Die Gemeinwohlbilanz wird zur Hauptbilanz : Je sozial verantwortlicher, ökologisch nachhaltiger, demokratischer und solidarischer sich Unternehmen verhalten, desto mehr Vorteile – von niedrigeren Steuern, Zöllen und Zinsen bis zum Vorrang beim öffentlichen Einkauf – erhalten sie. Die Systemdynamik belohnt endlich die richtigen Verhaltensweisen : Ehrlichkeit, Empathie, Kooperation, Großzügigkeit und Solidarität. In der Gemeinwohl-Ökonomie stimmen die Werte unserer Alltagsbeziehungen mit den Werten der Wirtschaft überein.

Actualité Fairtrade Lëtzebuerg

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Publié le lundi 21 janvier 2019
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