Une collaboration au service de la nature
La fondation Hëllef fir d’Natur de natur&ëmwelt s’engage pour la conservation de nos écosystèmes naturels en assurant une protection pratique de la nature. Nous vous expliquons pourquoi la conservation de la nature et l’action durable devraient intéresser tout le monde et comment La Bâloise soutient la fondation en tant que partenaire de longue date.
Alors que l’organisation sœur s’occupe plutôt de la protection politique de la nature, la Fondation Hëllef fir d’Natur de natur&ëmwelt (Fondation Aide pour la nature et l’environnement) couvre la partie pratique. À travers l’acquisition et l’entretien d’espaces naturels, de campagnes de sensibilisation et de travaux scientifiques, elle s’engage localement pour l’environnement, par exemple avec la protection de sources dans le parc naturel de Mullerthal, avec des mesures de préservation des zones humides de l’Ösling, et avec un projet de réaménagement de 50 marais entre 2018 et 2022 répartis dans tous le Luxembourg.
« La protection de la nature devrait être précieuse pour tous, car l’environnement naturel est le fondement de notre existence commune », précise Jacques-Yves Kail, ingénieur en environnement à la Fondation Hëllef fir d’Natur de nature&ëmwelt
Écosystèmes fonctionnels vs extinctions massives
Un environnement intact et riche en biodiversité est essentiel à notre santé et au maintien de notre activité économique : l’air pour respirer, l’eau propre, la nourriture, les médicaments, diverses matières premières, tout cela existe grâce à des systèmes écologiques sains. Aujourd’hui, nous constatons un déclin alarmant de cette biodiversité, en effet, environ 150 espèces disparaissent chaque jour. Nous sommes au milieu d’une extinction de masse et la faute nous en revient, nous autres humains (Sources : Consilium EU, ZDF).
« Pour faire simple, la biodiversité décrit la multitude des plantes, des animaux et des milieux naturels. Elle doit être aussi importante que possible pour que notre environnement puisse continuer à apporter des capitaux naturels à la vie », souligne Jacques-Yves Kail, ingénieur en environnement auprès de la fondation Synergies durables par le partenariat
Protection pratique de la nature | Un soutien indispensable
« L’un des grands défis est d’obtenir de nouveaux fonds et de faire appel à des bénévoles pour de nouveaux projets », indique Nicolas Hormain, responsable de la communication et des relations publiques à la Fondation Hëllef fir d’Natur de natur&ëmwelt. « En raison du boom de la construction au Luxembourg et du prix élevé des terrains, l’achat de terres devient de plus en plus coûteux, y compris dans le domaine de la protection de la nature. »
« Pour que la fondation puisse faire son travail, elle a besoin non seulement de legs et de dons, mais aussi de l’aide de partenaires : nous soutenons financièrement natur&ëmwelt, et de nombreux projets peuvent également être mis en œuvre par l’engagement actif de nos collaborateurs. En travaillant avec différents partenaires, nous pouvons aussi sensibiliser de nombreuses personnes qui n’ont pas grand-chose à voir avec la protection de la nature au quotidien », poursuit Nicolas Hormain.
« Même si nous travaillons dans des domaines totalement différents, natur&ëmwelt et la Baloise ont en commun l’engagement durable pour notre société », explique Nicolas Hormain, responsable de la communication et des relations publiques à la fondation Hëllef fir d’Natur de natur&ëmwelt.
Tout le monde doit agir pour un avenir viable
La durabilité dans le domaine de la protection de la nature signifie pour natur&ëmwelt de créer des systèmes stables et résilients. « Des entreprises d’assurance et du monde de la finance comme la Baloise disposent d’autres leviers et peuvent avoir un grand impact, par exemple par la collaboration avec des fondations, mais aussi en proposant des placements durables. Tout le monde doit agir maintenant. Ensemble, nous devons promouvoir le changement et une action durable dans tous les domaines de la vie. Nous ne devons pas oublier le tableau d’ensemble pour concevoir une vision qui couvre toutes les perspectives de développement durable », conclut Jacques-Yves Kail.