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« Légitimer la performance de notre machine au Luxembourg »
Déjà bien implantée dans l’Est de la France depuis 1978, GECO cherche depuis quelques années à se positionner sur le marché luxembourgeois. En 2018, Pierre André, son dirigeant, a été sollicité par l’IFSB, pour présenter à une équipe de formateurs de l’IFSB et d’ingénieurs de Neobuild la PKOM4 de Pichler, présentation qui a été suivie d’une collaboration.
Depuis plus de 2 ans, la PKOM4 chauffe, rafraîchit, ventile et produit de l’eau chaude sanitaire pour le Neobuild Innovation Living Lab’ (NILL) et elle répond, en même temps, à un projet mené par Neobuild, en tant que laboratoire de l’innovation, sur l’autonomie énergétique alliée au confort des occupants.
Cette machine, couplée à des panneaux solaires hybrides, a été sélectionnée parce qu’elle est connectée (possibilité de récupérer les données relatives à la consommation et à la production d’électricité et de chaleur, aux températures extérieures, intérieures, de pulsion, d’extraction et de rejet d’air), mais aussi parce qu’elle peut produire du chauffage et de l’eau chaude sanitaire simultanément, sans déperdition, grâce à deux compresseurs, et ce tout en étant compacte (moins d’1 m2 d’emprise au sol).
« Nous avions déjà installé des PKOM4 en France, mais le NILL est le 1er bâtiment dans lequel nous l’installions au Luxembourg. Cela nous a permis de gagner en visibilité, de nous faire connaître et de travailler avec des constructeurs comme CLK, par exemple. Cela a également légitimé la performance de cette machine au Luxembourg, à partir du moment où elle a été choisie par des ingénieurs de chez Neobuild et des formateurs de l’IFSB, et où elle démontre qu’elle fonctionne depuis plus de 2 ans. Sachant que quand on investit dans un tel équipement, il faut avoir toutes les garanties. La certification du Passivhaus Institut en est une, le fait d’être présent chez Neobuild dont la mission est avant tout de trouver des produits innovants, performants et qui permettent d’avoir une consommation d’énergie de plus en plus faible, en est une autre », indique Pierre André. « Même si notre siège se trouve à Strasbourg, nous sommes partie prenante au Luxembourg : nous faisons travailler les distributeurs luxembourgeois, la prescription passe par des bureaux d’études luxembourgeois et le service après-vente est assuré par des entreprises luxembourgeoises », ajoute-t-il.
Mélanie Trélat
Article tiré du NEOMAG#34
Plus d’informations : http://neobuild.lu/ressources/neomag
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