Nouvelle attraction avec couche antidérapante pour la Kalmthoutse Heide

La Kalmthoutse Heide est un parc naturel d’une grande beauté, situé à la frontière entre les Pays-Bas et la Belgique, qui attire toute l’année des hordes de touristes. On n’y trouvait pas encore de tour d’observation, mais avec De Stapper, c’est le cas depuis début 2020. La construction de cette tour de 10 mètres de haut est particulièrement durable et sûre, grâce aux matériaux de la gamme ALSAN.

Une vue à couper le souffle

Pivert, faisan, busard, chouette hulotte ou alouette lulu. Ou peut-être un putois, une belette, une martre ou une hermine. La splendide Kalmthoutse Heide abrite ces oiseaux et mammifères particuliers – et bien d’autres encore ! – que l’on peut désormais repérer depuis De Stapper, la nouvelle tour d’observation. La tour compte quatre étages et offre une vue à couper le souffle dans les quatre directions cardinales. D’ici, vous pouvez admirer l’étang mais également la réserve naturelle environnante.

Le nom de cette tour de guet particulière fait référence au Stappersven, l’un des plus grands étangs de Flandre. Les matériaux utilisés sont également en lien avec la région. La tour d’observation octogonale est construite en pierre et en béton, rappelant les briqueteries du Stappersven d’antan. Autrefois, de nombreuses briqueteries prélevaient des blocs de tourbe sur le site de l’actuel parc naturel. La tourbe était séchée, les blocs étaient ensuite disposés en forme d’octogone, exactement la même que celle qu’a De Stapper aujourd’hui.

Risque d’incendie et nombreux visiteurs

La Kalmthoutse Heide est régulièrement sujette à de petits incendies et l’un ou l’autre parfois plus important. En 2011, 600 hectares sont ainsi partis en fumée. Lors des longues périodes de temps très chaud et sec, la lande est soumise au risque d’incendie, rendant ainsi une partie de la réserve naturelle inaccessible aux visiteurs. Il faut également tenir compte de ce risque pour la tour d’observation. Raison pour laquelle elle n’a pas été construite en bois, mais en pierres robustes et durables pouvant résister à un incendie de la lande.

« Avec ALSAN, vous faites le choix de la qualité », affirme M. Hens.

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Outre le risque d’incendie, De Stapper devait aussi tenir compte des hordes de visiteurs. On a donc fait appel à AVALON NV. « Nous avons appliqué l’étanchéité liquide renforcée ALSAN », explique Karl Hens. « Par-dessus, nous avons appliqué une couche d’usure et une couche antidérapante supplémentaire pour en assurer la longévité, qu’elle soit bien nivelée et praticable par de nombreuses personnes. On obtient ainsi une belle surface, parfaitement praticable et résistante à l’usure, qui peut à elle seule faire face à un trafic intense. Cela n’aurait pas été possible avec un bitume normal ou une étanchéité EPDM. Ils ne sont pas conçus pour qu’on marche directement dessus. En revanche, avec ALSAN, c’est possible. »

Une large gamme de produits et une qualité garantie

« AVALON NV est spécialisée dans les travaux d’étanchéité difficiles, et nous étanchéifions les constructions et les jointures les plus étranges et les plus diverses », déclare M. Hens. « Des ponts, des caves, des puits et des digues par exemple. Nous disons toujours : au plus c’est compliqué, au mieux c’est. Et nous aimons travailler avec SOPREMA pour deux raisons : leur bon support technique et leurs produits de qualité qui sont parfaits pour les étanchéités difficiles présentant de petits détails. La gamme ALSAN est tellement polyvalente que nous arrivons toujours à rendre la construction parfaitement étanche, à vie. »

Pour la tour d’observation, AVALON NV a opté pour l’étanchéité liquide renforcée ALSAN, conformément au cahier des charges. « Avec ALSAN, vous faites le choix de la qualité », affirme M. Hens. « Vous savez que, derrière tout cela, il y a une entreprise comme SOPREMA et un laboratoire qui a dûment testé le produit. Vous utilisez donc des produits de qualité, contrôlés et approuvés. C’est important. Tout comme la satisfaction de nos clients. Qui est toujours au rendez-vous ! »

Article de notre partenaire SOPREMA